Belhara Berde
Les bienfaits du CBD
Le CBD détient d’excellentes propriétés anti-inflammatoires : il calme les douleurs articulaires, le mal de dos tout comme l’insomnie. Il provoque une sensation de bien-être et d’anti-stress, il relaxe. Des recherches prouvent que le CBD a des propriétés thérapeutiques pouvant aider à combattre des maladies telles que l’épilepsie, la schizophrénie et le cancer.
Le système Endocannabinoïde
Découvert au 20ème siècle, le système endocannabinoïde consiste en un ensemble de neurorécepteurs et neurotransmetteurs présents dans le système nerveux chez les mammifères, et joue un rôle encore mal connu dans les processus physiologiques essentiels comme l’appétit, la mémoire, la douleur, l’humeur. Les principaux récepteurs CB1 et CB2 qui vont traiter les messages chimiques des cannabinoïdes peuvent être trouvés dans les régions du schéma ci-dessous qui présente la concentration des récepteurs CBD.
Les récepteurs CB2 sont également présents dans le système lymphatique et les cellules de la peau. D’autres récepteurs que CB1 et CB2 sont trouvés dans les cellules sanguines.
Voici une liste des pathologies pour lesquelles le CBD pourrait avoir un effet bénéfique :
- Anxiété
- Agoraphobie
- Inflammation
- Arthrose
- Arthrite
- Rhumatisme
- Athérosclérose
- Cancer
- Guérison des fractures et résistance des os
- Acné
- Dépression
- Diabètes
- Troubles de l’attention / ADD
- Maladie d’Alzheimer
- Anorexie
- Autisme
- Epilepsie
- Maladie de Crohn
- Fibromyalgie
- Glaucome
- Ostéoporose
- Schizophrénie
- Insuffisance rénale chronique
- Syndrome métabolique
- Troubles obsessionnels compulsifs
- Troubles du sommeil
Les bienfaits du CBD
Des études le prouvent
Après avoir mené une petite “étude*” sur le sujet à titre personnel, il apparaît que la molécule agit sur chacun des participants de façon bien différente.
Les fréquences de prises ainsi que le dosage en mg varient du simple au double, d’un participant à l’autre. L’âge n’apparaît pas comme ayant une relation sur les pourcentages de CBD acceptés par le consommateur, ni sur les dosages en mg.
Cette étude me permet d’avancer que tous les participants ont préféré une approche du dosage journalier dite « pas à pas », débutant ainsi avec des doses minimes (2,5 mg/matin, midi et soir), et augmentant jusqu’à trouver leur zone de confort.
Les premiers retours parleront de soulagements musculaires et articulaires, d’un retour du sommeil franc et réparateur, ils parlent aussi d’un calme retrouvé, d’apaisement.
Pour les asthmatiques, après < 15 jours d’essai, on remarque que le sifflement disparait légèrement voire radicalement chez d’autres.
J’ai pu constater aussi que le CBD, même à 5%, pouvait avoir une action anti-inflammatoire, notamment sur la maladie de Crohn et qu’il a permis à Samir, alors hospitalisé sur Bayonne, de se passer du Tramadol dès le premier jour de prise, le CBD lui procurant un confort lui permettant de supporter sa douleur.
Sortie d’un AVC à plus de 60 ans, c’est vers le CBD que se tournera Marie.F pour éviter définitivement tous les effets secondaires liés aux posologies prescrites.
Chez certains hommes > 45 ans, il apparaîit que le CBD a tendance à agir comme un stimulant énergétique, je parlerai d’homéostasie totalement retrouvée 😉
Certains participants rapportent une tendance à fumer moins et à diminuer leur absorption d’alcool, alors que d’autres ramènent un bienfait ostentatoire sur l’acuité visuelle.
Des études réalisées par des chercheurs aux quatre coins du monde prouvent à présent que le CBD fait partie de ces molécules porteuses d’avenir.
Dans la recherche sur le cancer porté sur les animaux en Angleterre (Cancer Research UK), il est apparu qu’il participe à arrêter la division des cellules, qu’il empêche de nouveaux vaisseaux sanguins de devenir des tumeurs et qu’il réduit les chances que les cellules cancéreuses se propagent dans le corps. Pour l’instant, il n’y a pas suffisamment de preuves scientifiques qui démontrent que les cannabinoïdes, synthétiques ou naturels, peuvent traiter efficacement le cancer sur l’homme. Des recherches supplémentaires sont nécessaires afin de démontrer ces allégations.
Enfin, en France, on l’utilise en études depuis peu (décembre 2018) par le biais médical, pour des nouveaux traitements contre les formes sévères d’épilepsie (l’Epidiolex).
Après des retours d’études plutôt positifs (décembre 2018), en provenance de Suisse ; en juin 2019, l’Etat français se tourne vers la première étude sur le cannabis à visée médicale.
Les docteurs qui souhaiteraient participer à cette avancée peuvent se rapprocher de l’ANSM.
(*réalisée en partenariat avec 10 consommateurs sur des valeurs de 5% et 15% – Broad Spectrum 0% THC – Prises : Matin/Midi/Soir)